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Les moyens d'actions de l'association
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Une expression des citoyens

DiH-Mouvement de protestation civique organise des réunions publiques pour inciter les participants à réagir en citoyens avertis et conséquents :

" Nous devons faire savoir à ceux qui nous dirigent que nous connaissons l'existence des textes juridiques internationaux concernant les Droits de l'Homme. Ces conventions engagent les États membres des Nations unies tant sur le plan national que sur le plan international. Elles ont force de loi lorsque les États les ont ratifiées. En conséquence nous attendons des gouvernants la subordination rigoureuse des stratégies politiques et des lois nationales à ce droit universel."

Au cours des réunions, des campagnes de lettres adressées à des dirigeants nationaux ou internationaux peuvent être proposées, et après débats et amendements, adoptées.

Aide-mémoire citoyen

"Toute personne a droit à ce que règne, sur le plan social et sur le plan international, un ordre tel que les droits et libertés énoncés dans la présente déclaration puissent y trouver plein effet"

(article 28 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme - Paris 1948).

Ce principe, comme les 29 autres contenus dans la Déclaration, est opposable à tous les Etats membres de l'ONU.

"Tout individu a le devoir express de promouvoir et respecter les droits d'autrui et de la collectivité".

(Extrait des préambules des Pactes de New-York. 1966 - Charte internationale des Droits de l'Homme).

Ce principe est opposable à tout citoyen.

"Toute personne a le droit de promouvoir et de lutter pour la protection et la réalisation des Droits de l'Homme et des libertés fondamentales".

(Résolution adoptée en décembre 1998 par l'Assemblée Générale de l'ONU).

Ce principe est opposable à tout dirigeant.

Tout Français peut s'appuyer sur l'article 15 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du citoyen de 1789 :

"La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration. "

Un recours en contentieux

En octobre 1996, il a été décidé d'exercer un recours devant le tribunal administratif de Paris contre le gouvernement français pour le préjudice causé par la position de retrait adoptée par la France dans le cadre des négociations en cours visant à l'instauration d'une Cour Pénale Internationale (CPI) pour juger des génocides, des crimes contre l'humanité, des crimes de guerre, des crimes d'agression. Pour plus de détails...

Une présence effective

- A la Conférence Mondiale des Droits de l'Homme de Vienne en Autriche en 1993.

- A la Conférence Mondiale pour la création de la Cour Pénale Internationale (CPI) à Rome en juillet 1998.

Mise à jour le Mardi, 28 Janvier 2014 08:35